Je feuillette mon agenda 2020 et à la dernière page je vois le mot que j'avais choisi pour cette année. Le mot qui représentait ce que je voulais développer, expérimenter, approfondir, vivre. C'était "authenticité". Je ne me souvenais plus que je l'avais écrit.
Quand on décide avec son coeur ce que l'on met sur un tableau de visualisation, le mental n'est pas toujours d'accord. "Comment? tu veux une nouvelle voiture ? Non mais tu divagues! Comment veux-tu en avoir une, tu n'as pas d'argent! "
Il ne m'a pas fallu attendre le 24 décembre pour vivre dans la magie de Noël. Depuis que mon livre est terminé et qu'un éditeur l'a choisi, je vis cette magie. Et elle remplira ma vie désormais, tout au long du processus d'édition, lors de la publication et pour toujours.
Accrochée sur le tableau de visualisation que j'ai créé pour la partie "professionnelle" de ma vie, une lettre détaille comment je souhaite que mon livre soit édité, quel type de personnes je veux rencontrer, avec lesquelles j'aimerais travailler. J'ai noté la vision de l'édition et de la vie que j'aimerais qu'elles aient.
Je suis impatiente de vous faire connaître ma méthode. Impatiente surtout que vous puissiez créer votre tableau de visualisation et que vous obteniez ce que vous désirez.
J'ai regardé plusieurs sites avant de créer le mien. Beaucoup de comptes instagram aussi. J'ai vu ce qui marchait, ce qui était "à la mode".
Réflexion sous la douche (mon endroit magique pour trouver des idées): mon livre est plus qu'un outil, c'est une vraie méthode qui dépasse le simple tableau de visualisation. Biensûr, créer un tableau est déjà merveilleux et peut changer la vie. Mais j'ai voulu aller plus loin, créer une méthode qui amplifie les effets du tableau de visualisation,...
Ce matin, j'ai référencé mon site. Je n'avais jamais fait cela de toute ma vie. Si vous connaissez la procédure, vous savez que ce n'est pas si compliqué. Mais lorsqu'on n'a aucune idée de la marche à suivre, c'est un peu comme une montagne qui apparaît tout à coup. Très haute.
Quand j'étais enfant, le dimanche était le "jour où l'on ne travaille pas". C'était unjour de repos, de promenade, de jeux de société ... et d'ennui. Comme je détestais le dimanche ! J'avais l'impression quela vie s'arrêtait, qu'on devait "passer le temps". Il était interdit d'aller voir des amies, de faire du sport, ... Oui, je détestais ce jour...
Etais-je destinée à, un jour, écrire un livre de développement personnel et le voir édité? Non,pas du tout.